Une fois que les variables (également appelées facteurs et déterminants selon les auteurs) ont été identifiées - et dans notre cas mappéLa plupart des méthodes de prévision visent à réduire leur nombre, c'est-à-dire à ne conserver que quelques-unes de ces variables.
En effet, compte tenu des limites cognitives, ainsi que des ressources limitées, on essaie d'obtenir un certain nombre de variables qui peuvent être facilement et relativement rapidement combinées par le cerveau humain.
Le problème auquel nous sommes confrontés ici sur le plan méthodologique est de savoir comment réduire au mieux ce nombre de variables, en s'assurant que nous ne réintroduisons pas de biais et/ou que nous simplifions notre modèle au point qu'il devienne inutile ou sous-optimal.
En outre, compte tenu également des réactions indésirables potentielles des praticiens à des modèles complexes, il est le plus souvent nécessaire de pouvoir présenter un modèle correctement simplifié ou réduit (tout en restant fidèle au modèle initial).
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Publié par Dr Helene Lavoix (MSc PhD Lond)
Dr Hélène Lavoix est présidente et fondatrice de The Red Team Analysis Society. Elle est titulaire d'un doctorat en études politiques et d'une maîtrise en politique internationale de l'Asie (avec distinction) de la School of Oriental and African Studies (SOAS), Université de Londres, ainsi que d'une maîtrise en finance (major de promotion, Grande École, France).
Experte en prospective stratégique et en alerte précoce, notamment pour les questions de sécurité nationale et internationale, elle combine plus de 25 ans d'expérience en relations internationales et 15 ans d'expérience en prospective stratégique et en alerte. Elle a vécu et travaillé dans cinq pays, effectué des missions dans quinze autres et formé des officiers de haut niveau dans le monde entier, notamment à Singapour et dans le cadre de programmes européens en Tunisie.
Elle enseigne la méthodologie et la pratique de la prospective stratégique et de l'alerte précoce, travaillant dans des institutions prestigieuses telles que le RSIS à Singapour, SciencesPo-PSIA, ou l'ESFSI en Tunisie. Elle publie régulièrement sur les questions géopolitiques, la sécurité de l'uranium, l'intelligence artificielle, l'ordre international, la montée en puissance de la Chine et d'autres sujets liés à la sécurité internationale.
Engagée dans l'amélioration continue des méthodologies de prospective et d'alerte, Mme Lavoix combine expertise académique et expérience de terrain pour anticiper les défis mondiaux de demain.
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