Signal : La Libye et l'Italie intensifient leurs efforts pour lutter contre le trafic de migrants

Impacts et conséquences

Si le centre prévu devient réellement opérationnel et efficace, ce qui ne peut être estimé avec certitude compte tenu des inconnues actuelles,

  • Probabilité accrue d'atténuer les retombées du conflit libyen

Faits et analyses

Liens connexes

Le 9 décembre 2017, le gouvernement d'entente nationale de la Libye et l'Italie ont convenu de lancer un centre d'opérations pour lutter contre les réseaux de trafic de migrants qui facilitent le flux de migrants à travers la Méditerranée. Selon le Premier ministre du GNA, M. Serraj, le centre d'opérations comprendra "des représentants des garde-côtes, du département de la migration illégale, du procureur général libyen et des services de renseignement, ainsi que leurs homologues italiens."

En l'absence de détails sur le fonctionnement de ce centre, et compte tenu de l'influence limitée du GNA sur les milices, l'efficacité de ce centre d'opérations conjointes et son impact sur le débordement de la Libye restent à voir. Au cours des prochains mois, il conviendra de surveiller les activités du centre et tout effet mesurable.

Impact sur les questions

Incertitude critiquecapacité à rendre le centre réellement opérationnel avec efficacité à court terme.

 Atténuer les retombées du conflit libyen

La Libye et l'Italie vont créer une salle d'opérations pour lutter contre le trafic de migrants

TRIPOLI (Reuters) - Le gouvernement libyen soutenu par l'ONU a convenu samedi avec l'Italie de mettre en place une salle d'opérations commune pour lutter contre les passeurs et les trafiquants de migrants dans le cadre des efforts visant à réduire les flux de migrants vers l'Europe, selon un communiqué.

Publié par Jon Mitchell (Ma)

Il est un chercheur et un écrivain indépendant qui poursuit sa maîtrise en politique publique - affaires internationales à la Liberty University, aux États-Unis. Il a contribué à un rapport d'analyse politico-économique pour une organisation internationale à but non lucratif, a compilé un rapport d'analyse non officiel sur Boko Haram pour une commission du Congrès américain, et écrit des articles pour le Foreign Policy Journal. Lors de son stage à l'Institut Hudson, il a effectué des recherches sur des questions cruciales de sécurité régionale et a analysé des défis internationaux complexes dans leur Centre d'analyse politico-militaire.

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